jeudi 22 janvier 2009

Guess who's back?




Sagas, suites,
sequels, come-backs, appelez-les comme vous voudrez, ils son souvent désastreux. Ils sévissent dans tout les domaines, cinématographiques, sportifs, musicaux et j'en passe. Des simples suites aux piètres ré-utilisations de concepts préexistants: on en bouffe du retour.
Qu'il y ait un Flic de Beverly Hills XII, là n'est pas le problème, le premier était déjà mauvais.
Le vrai souci, c'est quand l'œuvre de base est magistrale ou même juste bonne, et que l'on s'obstine à essayer de faire mieux. Le mieux et l'ennemi du bien.
Au mieux, on risque de perdre 7 euros au cinéma, 15 chez le disquaire, 30 dans un stade, ou pis: une désillusion politique ou la détérioration de l'image idéalisée de notre idole. Et ça, ça n'a pas de prix...

Alors oui Jordan n'aurait jamais dû signer au Washington Wizards après avoir gouté aux joies du golf et des grasses matinées.
Bien sûr que Pacino et De Niro devraient être empaillés et exposés sous verre sur la colline d'Hollywood au lieu d'essayer de faire La Loi et l'Ordre.
Tout le monde sait que Jospin aurait dû tout plaquer et s'exiler faire du catamaran sur l'île de Ré depuis 7 ans déjà.
C'est vrai que NTM à réussi à berner pas mal de monde à Bercy, mais plus personne n'est dupe.

Quant à Michael Jackson et sa fratrie de joyeux artistes, avec toute l'admiration que je leur voue, le Berreta d'un fan(atique) schizophrène et raciste ou un bon crash en avion au milieu des 90's aurait été salvateur. Ça aurait évité les procès vaseux, et une sortie de piste à la Otis Redding ou à la John Lennon ça a quand même plus de gueule qu'un remix de
Thriller par Akon...

Enfin bref, tout ça ne sont que des sujet légers, d'innocentes gaudrioles dont on peut en rire entre amis, à gorge déployée, ou non.
On peut pas tous s'appeler Alliance Ethnik et faire des Fat Come Back, ainsi va la vie.

Mais par contre, il y a des choses qui ne se font pas!