jeudi 19 juin 2008

Des chiffres et des lettres..mais surtout des lettres.


-Lire ou ne pas lire, telle est la question!!!
-Ah bon?
-Oui!
-Mouais, bof.

[Dialogue de sourds...pour aveugles]

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Je vais donc plonger le nez dans la littérature russe. Mais en fait ça rime à quoi? Sans blague, je me le demande parfois.
Y'a des types qui n'ont jamais lu autre chose que la notice de leur I-POD et qui sont heureux comme des coqs en pâte, tandis que beaucoup de "lettrés" sont des cons finis sous Prozac marmonnant des poèmes de Rimbaud à tire-larigot dans leur barbe de 6 jours.
>>> " Tandis qu'une folie épouvantable, broie
Et fait de cent milliers d'hommes un tas fumant ;
Pauvres morts dans l'été, dans l'herbe, dans ta joie,
Nature, ô toi [...]
- Oh toi ta gueule!!!
Sans blague, la savoir rend chiant, et ça Socrate l'avait pas vraiment prévu. Charlatan, pédophile!

S'impose alors un choix de vie, surtout à moi, petit con de même pas 20 ans, n'ayant pas lu tout ses classiques. Bah ouais, parce que je commence à avoir l'impression qu'on ne peut pas lire à moitié. Quand t'es petit, tu lis Roald Dahl et t'es content, mais là c'est plus la même chose .Alors soit tu lis toute ta vie et tu la rate, sois tu vis toute ta vie et t'as aussi de grandes chances de la rater.
Et puis y'a ce truc biblique que mon athée de père m'a souvent répéter: "Heureux les simples d'esprit".Ça sentait l'arnaque, lui qui passe 80% de son temps libre en position allongé, ses coudes formant un angle à 57 degrés, un bouquin dans les mains. Et il a jamais eu l'air si heureux que ça, alors peut-être que...

Le seul problème ici est une question de temps, car lire: c'est long. Il faudrait arriver à trouver le bon compromis entre vie socialo-scolaro-professionnelle et érémitisme littéraire. Plus facile à dire qu'à faire.
Comment comprendre Beigbeder sans Camus, Camus sans Balzac, Balzac sans Rabelais, Rabelais sans Aristote? Alors soit tu t'en fous et tu lis les livres actuels qui te bottent, des trucs écris par des écrivains dynamiques et tout et tout.
Soit tu lis tes classiques jusqu'à 50 ans, et là tu te commences à lire les bouquins qui sortent en 2038 quand même Lolita Pille sera vieille, mais là, c'est toi qui ne sera plus d'actualité.

Alors est-ce que quelqu'un peut m'aider? Sérieusement, comment vous lisez, qu'est-ce que vous lisez ? Suis-je le seul à me poser ce genre de questions?

Je suis à la recherche d'écrivains japonais parlant du Japon contemporain, ou bien d'auteurs afro-américains relatant des récits ayant pour univers le monde de la Soul, du Funk ect...

Parce que les écrivains U.S rebelles à la : Bukowski/Miller/Burroughs/Kerouac/Easton Ellis, ça va un moment, l'ambiance beatniko-alcoolo-rock'n'rollo-woodstockien j'en ai ma claque. Les écrivains parisiens sous coke: idem.
HELP ME, merci d'avance.


9 commentaires:

D. a dit…

Bon on est d'accord sur au moins une chose: les écrivains US à la mode que les gens lisent par ailleurs à moitié...Au bout d'un moment ça va 2 secondes.
Sinon, comment oses tu comparer Beigbeder à Camus?!
Bref...
Moi je lis au hasard, ya pas de règles.
Tout depend de ce que tu recherches dans la lecture.
Se cultiver:Les classqiues qui sont malheureusement parfois barbants.
Maintenant lorsque je regarde une émission qui me bote, ou que je lis une itw d'un acteur que j'admire et que l'on prononce plusieurs fois le nom de Céline, je me dis que je devrai peu etre y jeter un petit coup d'oeil.
Ensuite il y a l'actu:
Quand j'entends que Zeller est le nouveau prodige de la littérature contemporaine à meme pas 30 ans, je me dis qu'il faut au moins que je donne mon avis sur la question.
Idem pour Faiza Guene égérie de la littérature "banlieue", ou pour fatou Ndiaye et son "ventre de l'atlantique" ou "mémoires d'un porc épic"
Par contre je ne me laisse pas avoir par les foutaises de télé réalité ou d'acteurs.
En général je lis au minimum un ouvrage d'un prix littéraire, pas forcément l'ouvrage qui lui a vallu le prix.
Parfois ça me donne envie de de continuer, d'autres fois non, mais au moins j'ai fait un voyage.
Et puis il ya les livres que j'achète parce que j'ai grandi entourée de bibliothèques dans toutes les pièces.
Du coup une à 3 fois par semestres je me rends à la fnac et je laisse mon instinct faire le reste.
Je me trompe rarement car en définitive je ne suis pas libre.
Il y a le rayon prix littéraire où je lis quelques 4ième de couv pour faire mon choix, il y a le rayon "meilleurs vente" auquel je ne fais absolument pas confiance mais qui réussi parfois à me faire faire de belles rencontres et puis la presse est omniprésente dans ma vie et mon esprit, donc j ai toujours en tete un vague titre qui aurait attiré mon attention.
Par contre ce qui est étrange c'est que je fais rarement confiance aux personnes qui me conseillent des lectures aussi bien intentionnées soient-elle.
Quand ça commence par "je suis sur que tu vas A-D-OR-ER" en générale je deteste
Et puis il ya le métro!
Lorque que je croise plusieurs fois la meme couverture je me dis qu'elle cache quelque chose que je mérite de découvrir.
Mais au delà de tout cela il est bon de temps à autre de lire un classique de la littérature, parce que la culture littéraire fait partie de la culture générale.
Et puis lire(à haute dose quand meme) mais lire vraiment cela améliore l'élocution car on apprend du vocabulaire pour peu que l'on prenne la peine de consulter de temps à autre le dictionnaire.
En tout cas moi je dois énormément à la lecture donc fatalement je me nourris d'écriture...

En définitive je pense que mes lectures me choisissent...Elles attendent le moment où je suis prete à les épouser comme une vieille maitresse qui déciderait enfin de se ranger.

Voilà tu sais tout de me vie désormais!
:D

Paya a dit…

Merci beaucoup pour cette longue contribution.
Personnellement j'ai très souvent été déçu par les prix littéraires. Par contre,la plupart des livres que des gens qui me connaissent bien m'ont conseillé ont fait mon bonheur.

Sinon, je n'ai JAMAIS comparé Camus à Beigbeder. J'ai juste dis qu'il fallait mieux connaitre Camus, ou du moins son Etranger qui est l'œuvre préférée de Beigbeder, pour mieux cerner ses influences.
En fait j'ai tendance à être intéressé quand un auteur en cite un autre dans son bouquin, je fonctionne un peu par liens. Un peu comme sur internet au final.
Après, bien entendu que le dandy mondain et le prix Nobel ne jouent pas dans la même cour, on est d'accord.

Anonyme a dit…

bien vu la petite playlist là haut.
tu as cité mes rebels favoris dans ta dernière phrase.
j'ai mis longtemps à me remettre d'American psycho, c'était un truc incroyable. d'ailleurs faut que je vois le film...
pour ce qui est de Bukowski je fais le tri, jme souviens d'une nouvelle que j'avais adorée à la fin de "contes de la folie ordinaire" je crois, sur une femme zoophile. j'ai commencé avec son journal du vieux dégeu, jme suis vite rendue compte que c'est tout à fait ce que j'aime. j'ai toujours aimé ce genre de truc crade.
par contre pour le Festin Nu préviens moi si t'as réussi à le finir celui là...cet ovni... je l'ai commencé il y a 3 ans de ça et je suis dans l'incapacité de le finir, je stagne.
Un auteur japonais? prend Murakami direct! Il aborde des thèmes aussi divers que l'année 68 ou le sado masochisme tout ça sur fond d'un japon sans espoir ( "Bleu presque transparant" c'est sur la jeunesse punk, ça fait froid ds le dos)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ry%C5%AB_Murakami
voilà.
un dernier conseil: "Effacement" de Percival Everett est bourré d'humour (auteur afro-américain facilement trouvable à la fnac)
tu devrais aimer.
SEE U!

Anonyme a dit…

Selon moi (et tant pis si personne d’autre n’y crois) il existe deux grandes sortes de famine. Hein, quoi ? Ce n’est pas le sujet de ton article? Deux donc, disais-je : La famine alimentaire, celle qui te fait mourir un nouveau né au le fin fond de l’Afrique subsaharienne, la famine du "ventre" en gros (tu m’excuseras j’ai pas eu le temps de trouver mieux) et la famine "mentale", celle dont on ne parle jamais. Cette dernière ce passe plus haut, dans la tête. C’est celle dont notre esprit réclame sans cesse d’être nourrit mais qui, s’il ne l’est pas, n’abouti pas forcement à la mort. Quoique si au final, voir même une mort plus terrible encore que la mort elle-même, mais passons. Cette famine "mentale" se nourrit essentiellement de savoir, de culture et a pour chocolat sacré le LIVRE ; succulent, délicieuse friandise des âmes curieuses, pêché mignon des esprits assoiffés. Ce n’est pas pour rien que l’homme à inventer l’expression "dévorer un livre", si ? "La faim, c’est moi" comme dirait l’autre (n’es-tu donc pas pressé de me faire fermer ma bouche ?). Donc voilà, tout ça pour dire que j’ai faim! Plus que jamais faim de lire. A en faire une overdose, à en devenir boulimique, à finir ermite reclus dans une pièce sombre éclairé à la seul lueur d’une bougie et dont le compagnon fictif autant que fidèle serait une pile de livres non entamés.
C’est vrai, quand on était gamin on se contentait de Roald Dahl et ça nous allait très bien Charlie et la chocolaterie, le bon gros géant, Matilda, ah ! Matilda… (Bon j’arrête de faire genre, surtout que ce n’est pas vraiment le livre que je relisais sans cesse, mais plutôt le film que je regardais en boucle, bref).
Je crois que je n’ai pas besoin de te dire à quel point j’aime lire. Inutile. Et puis je serais la personne la moins bien placée pour dire comment lire. J’ai un peu le même problème que toi au final, entre la littérature classique, la littérature moderne, les influences de "nos" auteurs, et les influences des influences de… lol . Sans compter ceux dont on ne cesse d’entendre parler. Fiouu. Je maudis ma curiosité maladive de n’avoir pas assez de toute une vie pour tout lire (dans le tout je met quand même un bémol.)
Quoiqu’il en soit voilà : Peu importe la fréquence, peu importe le temps consacré et peu importe le nombre d’année prit pour lire tout ceux dont le nom fait écho dans nos têtes et ceux encore qui viendront s’ajouter au fil du temps, l’important avant de faire une "course à la lecture" c’est de tirer du plaisir à lire. Mais là encore je ne t’apprend rien.

Aaaaaah ! help !!!! C’est tout à fait le genre de conclusion bidon que je déteste. Je ne sais pas ce qui m’arrive. Désolée.

Ps : honnêtement tu t’en tire plutôt pas mal entre vie socialo-scolaro-professionnelle et érémitisme littéraire. D’ailleurs je me demande toujours comment tu fais. Arrête un peu de te torturer. Le temps ça ce trouve. Pas au détriment d’autre chose cela dit (on se comprend j’espère !)

Anonyme a dit…

oui alors
jt obligé de m arreter sur cet article

je me pose les memes questions que toi
lire c est long, et depuis que je lis c est à dire pour l avouer depuis quatre ans, boulimie sans pause, sans solution, et bien je n ai pu trop de vie social
soupe velouté et à moi les heures horizontales ...

je regrette pas
enfin pas encore
après je suis d accord avec la dame du dessus, comment oses-tu mettre camus et beigbeder(j ai surement fait une faute) dans la meme phrase....

comment je lis, hmm attention c super intéressant:
generalement, je choisis un auteur et j essaye de lire pas mal de bouquins de lui, evidemment si cet auteur ne me plait pas, j arrete, déçu ou énervé ou les deux et je jette le livre fade par la fenêtre (bon en fait je le donne à ma mère pour voir si elle a la meme opinion que moi, mais je pourrai très bien le jeter et blesser un connard qui passrait en bas de chez oim)

apres pour des conseils de lecture:
tous les bouquins de jorge semprun, généralement c est des autobiographies romancés, où il évoque sa période estudiantine à paris, son adhésion au pc, son expérience à buckenwald, les livres qui l'ont marqué
très bon style et étant philosophe( a ui et c un écrivain espagnol qui maitrise mieux le francais que certains de nos écrivains qui eux le sont de naissance) il y a des passages sybillins(quel joli mot prétentieux n est il pas???) pour moi mais c du bon

et puis apres je te conseille tous les livres de paul morand
pour la singularité du style,
des phrases qui te font mal à la tête mais après les avoir relu une dizaine de fois, c 'est la jouissance assurée;
des romans mais il préférait les nouvelles à cki parait et elles sont vraiment bonnes;
sur le cosmopolitisme, l' europe, des personnages si singuliers ( oui j ai remis singulier, ct le seul épithète que j avais en tete)

de lui donc: 'ouvert et fermé la nuit'
'l homme pressé'
'les extravagants'
'tendres stocks'
'mylady,monsieur zéro'

apres drieu la rochell: j ai commencé ya pas longtemps
et j ai kiffé le style: 'reveuse bourgeoisie' et 'histoires déplaisantes''


et puis aussi jean genet et son journal du voleur: très controversé: très nébuleux pour moi, ca parle de sa pédérastie, pourquoi il aime le vol et la trahison et les verges turgescentes
mais le style est difficile
enfin pour moi

après bon j'ai kiffé la trilogie romanesque de sartre, les personnages marquent et jvais sans doute le relire

et puis françois mauriac pour un style parfait,limpide, des petites histoires de famille de mariage arrangé dans la région de bordeau, au début du 20e(bon pt que la ca te donne pas envie mais c tellement bien écrit que tu rentres direct dans l histoire)
c vraiment agréable à lire


voilou
seeyoux mec
hollaaaaaaaaaaaaaaaa
j espere que j ai pas ete trop relou

Paya a dit…

Merci à vous. Je retiens de toutes ces participations la notion ESSENTIELLE du plaisir de la lecture. Du feeling. Lire doit donc être quelque chose de moins calculé, plus fluide. Victoire de l'artiste sur le scientifique. Merci encore.

Wa6ma a dit…

J'arrive en retard mais bon. Dans mes lectures, je bannis la SF et les trucs fantastiques (à part Harry Potter, j'ai commencé à 11 ans et j'aime toujours autant) ainsi que les livres du genre Gossip Girl, Shoe addict et autres conneries pour filles ayant du mal avec la littérature.
Je suis plutot les livres genre réalistes, avec une morale si possible, j'aime les nouvelles, les romans et c'est tout. (pas de BD, ni mangas ni autres conneries)
J'essaies de lire des classiques, du Baudelaire bien sur mais aussi du Voltaire, Mérimée etc enfin j'prend surtout les classiques de Librio à 2e, j'en ai pas mal. J'trouve que c'est important, que chaque lecteur (genre quelqu'un qui VEUT lire, se mettre à la lecture etc) plonge d'abord dans les classiques.
Il y a aussi la littérature british qui est importante, Austen, Wilde etc sont des auteurs que j'ai envie de connaitre à défaut d'avoir pu les étudier en cours (et je commence par Austen). Agatha Christie j'aime bien mais sans plus, les romans policiers ne sont pas mon genre, j'ai seulement aimé Les 10 petits nègres.
Mais surtout, je lis des trucs plutot récents, en fonction de l'actu, de la rentrée littéraire etc, j'aime ce qui est facile à lire, rapide etc genre Lolita Pille, Faiza Guene, Beigbeder (et lui je commence à l'adorer, je vais lire tous ses livres tiens), Amelie Nothomb bien sur mais je les trouve un peu fades.. Enfin surtout les A. Nothomb et F.Guene cad que je n'apprend pas plus de choses que ça quoi.. j'aime qu'un livre soit marquant et laisse une bonne lecon de vie ou je ne sais quoi, j'veux qu'ce soit poignant. Pour A.Nothomb, à part Hygiene de l'assassin, les autres sont un peu "fades" (bon j'en ai lu que 5 d'elle en meme temps).
C'que j'aime chez Beigbeder c'est tout ce qu'il peut m'apprendre, à la fin d'un livre j'ai l'impression d'avoir bcp plus de culture générale et sa manière d'écrire c'est du grand n'importe quoi je trouve..
Sinon j'aime les romans du genre Da vinci code, encore + de culture, et sinon dans ma bibliothèque j'ai surtout des classiques du genre Zola, Balzac, Stendhal, Proust, Flaubert, Corneille, Sophocle etc mais je ne les ai jamais lu, la flemme..
Sinon j'aime les livres sprituels et là je ne peux que citer Paulo Coelho, j'ai seulement lu 2 livres mais je compte bien les acheter tous. Il y a aussi les livres sur les religions et quelques best sellers pour voir de quoi ça a l'air.
Et bien sur il y a le bouche à oreilles, qui me fait par ex dire qu'il FAUT que je lise du Celine ou du Bret Easton Ellis mais après c'est une question de vie sociale si je n'ai pas le temps de tous les lire..

Enfin voilà ca m'enerve de faire de longs commentaires...

Anonyme a dit…

Je souffre aussi de ce genre de questions infernales. On lit tous beaucoup dans ma famille, on a une bibliothèque immense remplie de tous les classiques possibles et imaginables (ma mère a fait des études en philologie romane) ainsi que d'à peu près tous les livres policiers de la Fnac, pas mal de récits de science-fiction et beaucoup de romans inclassables.
J'ai tellement de livres à lire et si peu de temps que j'en perds la tête.
Je ne m'attarde pas sur les classiques - ceux que j'ai lus à l'école m'ont ennuyée. J'en ai des connaissances via les cours de français-philo du lycée, et ça me suffit.
Mon plus grand dilemme est 'Est-ce que j'entame ce nouveau livre inconnu, ou est-ce que je me relis une valeur sûre?'.
Une vie c'est trop peu pour tout lire, or j'ai tellement envie de relire certains livres qui m'ont beaucoup plu - voire marquée - que j'en viens à culpabiliser de ne pas leur laisser une chance à tous.
Mes loisirs étant limités pour cause d'études prenantes et la musique tenant la première place dans mon cœur lors de mes temps-libres, je lis très peu durant l'année académique et dévore le maximum de mots durant l'été. On s'adapte.

Si je ne devais en citer que quelques uns : Daniel Pennac, Martin Page, Jonathan Safran Foer ('Extrêmement fort et incroyablement près' je conseille avidement), Fred Vargas.
Liste absolument non exhaustive.

Bisous. (j'ose.)

Paya a dit…

C'est fort regrettable qu'avec des contribution si intéressantes, les deux dernières personnes ayant commenté n'aient pas laissé, un blog ou une adresse mail. Mais merci quand même.